L’attractivité des stations d’altitude en transports publics

la maison blanche

Avec Évelyne Bezat, Chargée d’affaires, ATE Valais et Hugues Romain, Responsable développement, TPC.

La maison blanche - coworking

Pendant la saison de ski, tous les week-ends, le ballet des automobiles recommence. Mais loin de la fluidité de Maurice Béjart, nos voitures avancent en accordéon puis s’immobilisent avant de repartir. Il ne reste plus qu’à leurs passagers de prendre leur mal en patience, et parfois pour longtemps. Partir plus tard, s’arrêter en route, rien n’y fait, car l’augmentation de la fréquentation des destinations d’altitude ne se dément pas. Certaines stations, telles que Gstaad ou Zermatt, ont pris le parti des transports, mais c’était en d’autres temps, et pour d’autres raisons. Qu’avons-nous à apprendre de celles-ci? Actuellement, on ne croise pas les bras, et des mesures sont prises, mais elles demeurent insuffisantes, et leur efficacité relative. Des stations à la plaine, tous les axes souffrent de l’excès de trafic.L’acceptation du postulat de Christophe Clivaz, « Stratégie nationale en faveur de l’amélioration de la desserte en transports publics vers les régions touristiques », au Parlement, va-t-elle vraiment changer la donne? Nous le découvrirons bientôt. En attendant, elle nous invite à la réflexion et au partage d’idées!Venez nous rejoindre pour une discussion passionnante en compagnie d’Evelyne Bezat de l’ATE Valais et d’Hugues Romain des TPC.📷 © Olivier Maire